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Je suis arrivé à la fac de Nancy en 2011, j’ai passé mon premier semestre en L1 tronc commun math-physiques, et durant le 2ème semestre un de mes professeurs m’a conseillé de rejoindre la CPU car elle m’aiderait à progresser plus rapidement. Effectivement la qualité des cours a fait que j’ai réussi à intégrer Supélec après ma L2. Après trois années passées en école d’ingénieurs je suis aujourd’hui Field Engineer dans l’Oil & Gas au sein de Schlumberger. Je passe la majeure partie de mon temps sur les puits de pétrole dans le desert émirati à Abu Dhabi et mon travail consiste globalement à assurer l’intégrité physique des puits durant les forages.
Abdou Aziz Mbaye, diplômé Supelec, Field Engineer chez Schlumberger

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Après avoir terminé ma licence en Mathématiques couplée à une classe préparatoire universitaire (CUPGE), j’ai souhaité m’orienter vers un parcours plus applicatif. La spécialité Ingénierie Mathématique et Outils Informatiques (IMOI) du master de maths m’a permis de me former à la fois en Statistiques et en Calcul scientifique ; cet apprentissage pluridisciplinaire permet à la fois de prétendre à des postes de biostatisticien tout autant que d’intégrer une équipe de R&D dans l’industrie. Les enseignants sont bienveillants et disponibles pour parler des cours ainsi que des débouchés.
Camille Alleyrat, biostatisticienne/data-manager

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Après le bac, je ne me sentais absolument pas prête à aller en prépa et j’ai préféré aller à l’université. Loin de l’image que j’en avais, j’ai beaucoup apprécié d’être encadrée en ayant malgré tout une certaine liberté. J’ai obtenu l’agrégation de mathématiques en 2015 et grâce au soutien et à l’implication de plusieurs enseignants que j’ai connus durant mon cursus, j’ai pu débuter une thèse en octobre 2016 à l’IECL dans le but d’enseigner dans le supérieur.
Clémence Karmann, agrégée et doctorante

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Après 2 ans de CUPGE j’ai intégré l’école CentraleSupélec. Ce cursus m’a permis de développer mon autonomie, mes connaissances et d’appliquer avec rigueur un raisonnement face à un problème posé, le tout dans un environnement sain, sans l’esprit concours. Un véritable plus avec un programme non négligeable aux yeux des grandes écoles d’ingénieurs. Les professeurs, toujours à l’écoute pendant et en dehors des cours, apportent un enseignement de qualité, riche et varié. Il ne faut pas avoir peur de tenter les écoles les plus prestigieuses, juste du travail et de la volonté.
Julien Arnold, élève ingénieur à CentraleSupélec

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J’ai intégré la Classe Préparatoire Universitaire (CPU) l’année de sa création, en 2010. Grâce à son programme renforcé et à l’implication des enseignants, je suis entrée à l’ENS de Lyon par le concours universitaire après deux ans dans cette filière. Avoir suivi la formation de la CPU ne m’a absolument pas pénalisée par rapport aux élèves issus des meilleures classes préparatoires classiques. J’ai obtenu l’agrégation de mathématiques en 2015 avec le rang 5, et je suis actuellement en thèse dans un laboratoire de probabilités à l’université Paris Diderot.
Laure Marêché, agrégée et doctorante

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Après ma licence de Mathématiques et grâce au soutien des enseignants-chercheurs du département, j’ai eu la chance d’intégrer l’Ecole Polytechnique par le concours Universitaire. Je suis passionné par les Mathématiques et j’ai été le major de l’Ecole Polytechnique en 2013. J’ai soutenu ma thèse de doctorat en 2017 et je suis actuellement en contrat post-doctoral à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon.
Loïc Richier, major 2013 de l'Ecole Polytechnique

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Après ma licence de mathématiques, j’avais envie de retrouver de la pluridisciplinarité : philosophie, biologie, etc. J’ai intégré un M1 (master 1e année) de sciences cognitives à Lyon dans lequel j’ai fini major. J’ai pu ensuite, grâce à mon double cursus, continuer en M2 à Paris et trouver très facilement une bourse de thèse dans le laboratoire que je souhaitais, sur un sujet qui me plaisait. J’ai terminé ma thèse à Dijon et je combine des mathématiques et l’étude de la façon dont nous organisons certains de nos mouvements et je travaille actuellement dans un excellent laboratoire à Ferrarre (Italie).
Pauline Hilt, docteur en sciences cognitives

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J’ai intégré la CUPGE de la fac de Nancy en 2013. Après 2 années d’études assez poussées, notamment en maths et en physique, j’ai décidé de poursuivre en L3 de maths pour candidater aux concours des écoles d’ingénieurs très prestigieuses.
Les 2 années de CUPGE, la disponibilité et le soutien des profs, notamment en L3, sont autant d’éléments qui m’ont permis d’être aujourd’hui en 2ème année à l’Ecole Polytechnique.
Saliou Mbaye, polytechnicien

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Suite à une année en CPGE, j’ai décidé de me réorienter vers la Classe Préparatoire Universitaire proposée à Nancy afin d’intégrer une école d’ingénieur. L’adaptabilité des enseignements découlant des effectifs moindres de cette prépa nouvelle génération à l’ambiance sereine m’a permis d’obtenir un bon classement au concours CCP DEUG et ainsi d’intégrer l’école de mon choix.
Victor Matteucci, ingénieur de l'ENSICAEN

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Après ma licence mathématiques informatique, voulant plutôt m’orienter vers les mathématiques appliquées, j’ai pu intégrer l’ISUP (Istitut de Statistique de l’Université Pierre et Marie Curie) à Paris. Je suis à présent biostatisticienne dans un laboratoire pharmaceutique en région parisienne. La qualité des enseignements et les nombreux débouchés qui s’offraient à moi m’ont permis d’atteindre mes objectifs.
Anaïs Debard, biostatisticienne

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